Aquarellum permet aux enfants de passer outre certaines préoccupations :
les dessins sont déjà réalisés,
déborder ne se voit pas.
C’est pourquoi je trouve que ces kits de peintures sont appropriés pour apprendre à jouer avec les couleurs. Mes filles adorent, elles en ont déjà et cela figure sur la liste du Père Noël.
Au collège, j’étais fascinée par une professeure d’histoire qui nous faisait découvrir l’histoire aux travers de tableaux.
J’étais émerveillée par plusieurs choses :
Comment pouvait-elle connaître autant d’artistes et de tableaux ? Ils sont si nombreux, surtout quand on multiplie les époques.
Comment pouvait-elle comprendre les messages « cachés » dans les tableaux ? Moi, je ne comprenais quasiment pas le message initial, alors identifier que certains détails renvoient à d’autres sujets, je n’y étais pas.
Comment connaissait-elle tout le contexte autour de ces œuvres ?
Aujourd’hui, sans être une experte, je connais moi aussi beaucoup d’artistes, d’œuvres et d’anecdote. Je t’explique comment apprendre l’histoire de l’art.
‘La compréhension des œuvres est un processus lent‘ (Pauline Raconte l’art)
Apprendre l’histoire de l’art n’est pas une fin en soi. J’ai appris au fil du temps à reconnaître, situer dans les mouvements les œuvres et les artistes. Cela me permet de multiplier le plaisir que j’ai à découvrir ou voir des œuvres. J’ai laissé parler ma passion et mes envies pour approfondir mes connaissances.
Des cours d’histoire de l’art
Je n’ai pas suivi de cursus de formation d’histoire de l’art. En revanche, j’ai assisté à des séances organisées par des associations, par différentes écoles (école du Louvre, école des Beaux-Arts de Nantes), en tant qu’auditeur libre.
Les écoles d’art proposent souvent des cours pour le grand public. Souvent l’inscription pour les cours est en année scolaire. Il n’y a pas de sélection, mais les places étant limitées, il ne faut pas rater le créneau pour s’inscrire.
Les MOOC
Je suis une adepte des MOOC, qui ont l’avantage de pouvoir être suivis depuis chez soi. De plus ils sont gratuits : le contenu est généralement de qualité, organisé par des institutions.
Visiter les musées
Une visite de musée est évidemment un bon moyen d’en apprendre plus sur l’art. Avec un guide, le processus d’apprentissage est décuplé.
Avoir l’œil
Au final, l’art est partout. Les œuvres d’art les plus célèbres sont détournées.
Elles nous entourent au quotidien.
On en retrouve sur nos pots de yaourt :
La laitière est issue d’un tableau de Vermeer.
La répétition conduit à l’apprentissage
A force de voir et revoir les œuvres, en entendre parler, on s’approprie les messages qu’elles communiquent, on parvient à créer des passerelles entre les époques, les techniques et ainsi de suite. Aussi, plus les artistes sont cités, plus il y a d’articles, d’exposition rétrospectives et plus ils entrent dans l’Histoire.
Pourquoi les femmes sont oubliées dans ce processus
A ce jeu-là, l’Histoire a oublié les femmes. En effet, l’histoire s’intéresse au politique. Et on cantonne généralement les femmes au domaine familial domestique.
« Les femmes sont les grandes absentes de l’histoire »
Le phénomène se produit dans l’histoire en général et dans l’histoire de l’art a fortiori.
Les « Nanas » de Niki de Saint-Phalle et « Pénélope » d’Antoine Bourdelle
Il est en effet plus souvent de muses ou d’amantes plutôt que de collaboratrices, d’assistantes plutôt que d’artistes. Aussi l’histoire présente le travail de Camille Claudel sans oublier de préciser qui fut son mentor et amant, en n’indiquant que très peu l’apport de cette relation pour Rodin. De même, Meret Oppenhein se trouve dans l’ombre de Man Ray.
Mon projet pour participer à la reconnaissance du travail des artistes femmes
A PiGMENTROPiE, j’essaie de mettre en avant des artistes femmes et hommes.
Mais j’ai remarqué qu’une page citant Van Gogh mobilise plus qu’une autre parlant d’Elisabeth Vigée-Lebrun. Alors est venue une idée : pourquoi ne pas « attirer » les lecteurs sur des artistes connus, et proposer d’en découvrir une moins connue dans le même temps.
Ainsi, je commence une série d’esquisses qui représentent des sculptures en suivant le principe suivant : Chaque dessin mêle des sculptures produites par une femme et par un homme.
Je choisis les artistes un peu au hasard, sans rechercher des similitudes, ou des liens. Mon trait crée le lien entre les deux.
« Psyché sous l’empire du mystère » d’Hélène Bertaux, et David de Michel-Ange
Envie d’en savoir plus sur un des thèmes abordés dans l’article :
MyArtist.fr propose un concept de vente d’œuvres d’art en ligne. Il est possible d’y acheter des œuvres déjà créées, mais également de commander des œuvres personnalisées.
En effet, parfois, on aime le style d’un artiste et on voudrait qu’il crée juste au format, aux couleurs, et suivant le thème qui nous conviendrait. Pour ma part, je réalise parfois ce genre de demande. C’est vraiment sans soucis si on me demande une œuvre qui correspond à une « série ». Je refuse en revanche lorsqu’on me demande de réaliser des portraits par exemple.
Je partage l’attrait de Degas pour les danseuses :
Les corps en mouvements,
Les postures esthétiques et maîtrisées,
Les tutus, leur légèreté et transparence.
Alors j’ai réalisé une série d’esquisses sur le thème de la danse, à la fois classique et moderne.
Ces dessins sont un plaisir et une réelle détente pour moi. Je m’amuse beaucoup et le résultat me satisfait. Bref, que du positif !
La danse classique
Danseuse – esquisse – format 32 x 24 cm – encre noire, feutre rose et crayon violetPetite danseuse en grand écart – esquisse – format 10 x 15 cm – encre noire, feutre rose et crayon violetDanseuse en grand écart – esquisse – format 10 x 15 cm – encre noire, feutre rose et crayon violetTrois danseuses – esquisse – format 50 x 65 cm – encre noire et feutre roseDanseuses – esquisse – format 50 x 65 cm – encre noire et feutres jaune et violetTrois danseuses – esquisse – format 50×65 cm – encre marron, feutre violet
La danse moderne et le hip-hop
Danseuse moderne – esquisse – format 10 x 15 cm – encre noire, feutre rose et crayon violetDanseur sur une main – esquisse – format 10 x 15 cm – encre noire, feutre violet et crayon orangeDanseur – esquisse – format 50 x 65 cm – encre noire, crayon orange et feutres jaune et violet
En général, je réalise 3, 4, 5 esquisses à la suite. J’apprécie de ne pas avoir à trop chercher d’images entre deux dessins, pour rester dans l’élan. C’est pourquoi je choisis un livre sur un thème, qui me permet de changer de sujet en feuilletant les pages.
Mes esquisses sont disponibles au sein de ma boutique. Si vous n’y trouvez pas ce que vous cherchez, n’hésitez pas à m’interpeller, je crée sur demande.
Comme les prix des œuvres artistiques semblent être fixés aléatoirement, il est assez fréquent qu’une réduction soit demandée par les amateurs d’art. Pour ma part, je préfère y répondre en offrant des cadeaux artistiques.
Je vais t’expliquer pourquoi il est préférable d’offrir un cadeau plutôt que de revoir un prix à la baisse.
Pourquoi garder des prix stables ?
Il est possible d’imaginer plusieurs scénarios pour appliquer une réduction sur tes prix :
Une promotion circonstancielle (les soldes, Noël, etc)
Une demande personnelle, ponctuelle. Tu connais la personne et baisser tes prix représente un « cadeau », un avantage, par rapport à cette relation.
Dans le premier cas, mets-toi dans la peau de celui qui a acheté au plein tarif. Une réduction du prix lui est préjudiciable, il va penser qu’il aurait dû attendre avant d’acheter. Tu vas donc amplifier une saisonnalité des ventes.
Dans le second cas, si tu as accepté une réduction sur tes tarifs, la personne considérera qu’elle pourra appliquer la même réduction sur ses prochains achats. Il te sera difficile de trouver des arguments pour expliquer que tu ne peux accepter cela alors que tu l’as fait auparavant.
Un tableau bien emballé pour voyager
Pourquoi offrir des cadeaux ?
Un cadeau cela fait toujours plaisir, c’est une surprise, une chose à laquelle on ne s’attend pas forcément.
Le cadeau a de multiples avantages pour l’artiste :
Il peut être personnalisé. J’essaie d’être attentive aux informations de mes interlocuteurs : les couleurs, les thèmes qui leur plaisent etc. Et j’essaie de préparer ou sélectionner des surprises qui collent à leur goût.
Sa taille et sa valeur s’adaptent. La valeur du cadeau s’apprécie en fonction de l’achat initial, ou du lien que l’on a avec la personne : une carte postale, une esquisse, ou un petit tableau pour l’achat d’un plus grand. Personnellement, je ne fixe pas de barème. Je le fais comme je le ressens. Je choisis aussi en terme de praticité : si je dois l’envoyer par la poste, c’est plus simple de choisir une esquisse sur papier ou une toile non montée.
Le cadeau peut être dissocié de l’achat. Il s’offre à tous, alors qu’une réduction implique nécessairement un achat.
Le cadeau entame un échange. Offrir un cadeau, c’est toujours prendre un risque, car on choisit pour l’autre, en se basant sur, parfois, peu d’informations. Mais c’est aussi un moyen d’en savoir plus sur ceux qui me font confiance et qui m’encouragent, les amis, les clients etc.
Offrir une création, c’est aussi partager son art. J’aime bien proposer des travaux préparatoires. Sur le blog, j’explique comment je crée mes tableaux. Cette même idée de partager le processus créatif est à l’origine de certains dons.
Pour finir, ces cadeaux permettent d’écouler des créations qui ne sont pas « vendables ». Par exemple, lorsque je décide de re-dessiner une esquisse au dos d’une ratée ; ou encore sur du papier de moindre qualité. Même si le résultat est réussi, le « produit artistique » n’est pas de qualité correcte pour être vendu. Mais il fait le plaisir des amateurs d’art.
Et toi, offres-tu des cadeaux de tes productions artistiques ? A quelles occasions ?
Envie d’en savoir sur le marketing de l’art ? Voici une sélection d’articles en lien avec ce sujet :
Et si on parlait des tubes de peinture sans parler de leur contenu ?
Parfois le contenant nous simplifie ou nous enquiquine sérieusement la vie.
Les services marketing travaillent largement sur le sujet, voyons ce qu’il en est vraiment en réalité. Citons par exemple la gamme Abstract de Sennelier, qui a développé un format original.
Je propose donc un petit tour d’horizon des tubes de peintures de mon atelier sur un aspect purement ‘contenant’. Je ne parlerai donc que des peintures que j’ai personnellement testées.
Abstract de Sennelier
Commençons par ceux qui appuient leur argumentation commerciale sur leur contenant : Abstract de Sennelier.
Ils mettent en avant « un sachet haute résistance ultra transparent, anti-gaspillage« .
Personnellement, cela m’évoque les compotes-gourdes. Le format du sachet rectangulaire et l’embout sont similaires. Alors comme pour la Pom’Pote, on peut rouler en fin de tube pour récupérer ce qu’il reste.
Malheureusement, l’intérieur du bouchon a tendance a s’encrasser de peinture. Et donc, le côté anti-gaspillage n’est pas tout à fait au rendez-vous.
Les tubes Sennelier, Lascaux et Golden
J’ai regroupé ces deux tubes car ils sont équivalent à mes yeux. Ils font penser à un tube de dentifrice ou de pommade.
Le tube de Lascaux est plus rigide et j’ai parfois peur qu’il ne se perce. Mais n’est pas arrivé jusqu’à présent. Je galère souvent pour l’ouvrir : le tube se vrille, mais le bouchon, lui, ne tourne pas. Cela m’énerve, et pourtant j’adore la texture et la force de cette peinture.
Celui de Sennelier, sous son aspect métallique, est cependant très malléable et résistant.
Le tube de Golden est un intermédiaire entre ces deux-là.
Les deux peuvent s’enrouler par le bout pour progressivement être vidés.
Leur principal point faible est l’encrassement intérieur du bouchon avec la peinture sèche (surtout pour Sennelier). Au bout d’un moment, on ne voit presque plus le pas de vis. C’est franchement ce type de détail qui m’exaspère.
Les tubes Louvre de Lefranc & Bourgeois et Bascis de Liquitex sont conçus sur le même principe : un grand tube transparent, un embout qui s’ouvre par un « clapet ». Pour ma part, j’ouvre le tube en le dévissant. Avec le clapet, il se forme des ronds de peintures sèches dans le bouchon. Ce problème ne se rencontre pas quand on dévisse l’ensemble du bouchon.
Nota : ce sont les seuls tubes présentés dans cet articles à être transparents. En effet, il s’agit de peinture acrylique dite d’étude. Les peintures fines sont conservées dans des tubes opaques pour les protéger de la lumière.
Ces deux tubes de peinture sont équivalents. L’ouverture de Liquitex est plus large, le bouchon a un diamètre plus grand et je trouve qu’il est plus facile à ouvrir.
Les tubes sont opaques, dans un plastique résistant et souple.
Est-ce que toi aussi tu maudis parfois les concepteurs de tubes de peinture ?
Certaines œuvres de l’espace public sont tellement intégrées dans leur environnement qu’on ne les remarque pas. C’est le cas de l’œuvre, pourtant monumentale, « De temps en temps » de François Morellet.
L’oeuvre « De temps en temps » de François Morellet
François Morellet est un artiste connu pour développer le mouvement des abstractions géométriques. Il est décédé en 2016 dans un quasi silence médiatique.
Il conçoit des oeuvres à partir d’éléments reposant sur des principes scientifiques.
Le projet mené à Nantes, avec l’oeuvre ‘De temps en temps » vient illuminer une façade avec la météo avec des tubes néons colorés. Trois possibilités sont offertes :
la pluie, avec des petits traits bleus
le soleil, avec un demi cercle rouge
les nuages, avec des « nuages » blancs en partie haute de la façade.
Le séquençage n’est donc pas programmée à l’avance mais définit par élément extérieur (le temps qu’il va faire dans 6 heures).
Pourquoi je me sens proche de lui et pourquoi je l’admire ?
Il est originaire de Cholet, autant dire à deux pas de ma Vendée natale.
Il travaille le nom de ses oeuvres. Les jeux de mots participent à sa création artistique.
Il a imposé au Louvre une oeuvre moderne, de son vivant (en 2010).
Pourquoi est-ce important de voir cette oeuvre ?
Argument n°1 : L’art rend remarquable ce qui est anodin
Des néons, sur une façade de bâtiment, cela parait plus que banal. On en vient même à parler de pollution visuelle. C’est sans compter sur l’art, qui nous donne le pouvoir de transcender le banal.
La localisation est bien trouvée, sur les rives de la Loire, afin de nous offrir un heureux reflet.
Pourquoi s’embêter à trouver la météo ailleurs, quand on le visualise directement en façade de ce bâtiment.
Quand on passe devant le bâtiment de l’assurance Harmonie Atlantique, on peut ne pas réaliser que les néons allumés nous donnent une information sur le temps à venir dans les 6 prochaines heures. Mais il ne donne pas la température…
Argument n°4 : pour frimer
Retour de soirée, assis à l’arrière de la voiture, on te ramène. Et hop, tu racontes une anecdote sur cette façade en citant François Morellet. Franchement, c’est la classe ! Et tu blufferas plus d’une personne.
Te faut-il vraiment encore d’autres arguments ?
Pour tout connaître de cet artiste, je vous conseille vivement la lecture de ce blog qui lui est dédié.
Un flipbook permet de comprendre le principe de création des dessins animés. Il est possible d’en réaliser facilement avec des fournitures très simples. Les filles ont adoré.
Cet article est réalisé dans le cadre du rendez-vous mensuel ‘l’art est un jeu d’enfant‘ organisé par le blog Le pays des merveilles. Chaque mois, un thème est proposé, et chacun.e est invité.e à montrer ses créations. Tout est expliqué sur le lien ici. Cette fois-ci, le thème était ‘à partir d’un livre‘.
Les #entrepreneurs se déclinent en différentes typologies : #mompreneurs, #babypreneurs (qui ne sont pas des bébés qui deviennent entrepreneurs, mais des entrepreneurs novices).
Et si on parlait des #artispreneurs? Un néologisme de plus, contraction d’#artiste et #entrepreneur
Je me considère à la fois artiste, et à la tête d’une petite entreprise de vente de mon art (incluant promotion, participation à des événements, produits dérivés etc).
Et toi, te sens-tu artispreneur ?
L’artiste n’est pas qu’un artiste
Passer mes journées le pinceau à la main, face à mes toiles, ne suffit pas pour vivre de mon art.
Produire de l’art ne suffit pas à vivre de son art. Il faut passer beaucoup de temps et d’énergie à en faire la promotion.
L’artiste se retrouve avec des problématiques assez proches des entrepreneurs.
La différence majeure est que le produit qu’il propose est de SON art. Il s’agit donc d’un produit qui touche directement à sa propre personne, ses aspirations, ses engagements, sa vision du monde.
Artipreneur
Au quotidien, un artispreneur prend des décisions d’entrepreneur et fait de la gestion :
Etablir une simili-stratégie : définir ce qu’on veut promouvoir, à quelles expositions on souhaite participer. Au final, chaque décision peut avoir une influence sur l’image qu’on renvoie de son art.
Communiquer : via les réseaux sociaux, un blog, la presse etc
Apprendre, évoluer, essayer : un tableau réussi est le fruit de nombreux travaux en amont, de recherches, d’essai, etc.
Gérer l’administratif et la comptabilité
Et la liste est loin d’être complète.
Déléguer des tâches ?
L’artiste ne peut pas déléguer sa création artistique, même s’il existe aussi des solutions de ce côté là pour certaines formes de création.
En revanche, il est possible de déléguer ces tâches de gestion pour se concentrer sur son art. C’est précisément la mission des agents d’artiste et/ou des galeristes.
Mais trouver la perle qui saura défendre et valoriser son art n’est pas chose aisée. Et cela a un coût qu’il n’est pas toujours facile de dégager lorsqu’on débute.
Où trouver des bons conseils ?
Voici quelques articles pour mieux comprendre les enjeux de l’artispreneur :
Par Gwenn Seemel : son blog fourmille de bons conseils dans ce domaine. Je recommande en particulier l’article « comment vivre de son art« .
Par Amylee : elle donne sa vision du métier d’artiste. Tu peux commencer par l’article « savoir gérer son temps d’artiste » qui donne de manière complète toutes les tâches qui incombent à l’artispreneur.
La martre est sélectionnée pour une espèce précise : Kolinsky.
Martre
Les alternatives existent
Il existe des alternatives de très bonne qualité aux poils naturels. Et généralement, ils sont moins onéreux.
Pour autant, les sociétés commercialisent généralement les deux types de produits : synthétique et d’origine animale.
Alors dans tous les cas, les sociétés ne sont pas vegan. Elles sont pour l’instant peu engagées dans une démarche de ce type.
En comparaison, dans les cosmétiques des marques telles que Ecotools ou Bary M communiquent largement sur ce point, prenant de réels engagements.
Attention cependant au risque de greenwashing…
Engagements d’EcotoolsEngagement de Barry M
Des pinceaux made in France
De plus, je me suis également mise à les trier suivant un critère qui importe : l’origine géographique de la société.
Parmi mes pinceaux, seule la marque Daler-Rowner n’est pas française, mais britannique.
L’offre française est nombreuse et cela fait plaisir de les soutenir. Petit voyage au travers de la France des pinceaux :
Les sociétés Max Sauer (qui commercialise les marques Raphaël et Isabey) et Bullier (pour la marque Léonard) sont situées à Saint-Brieuc. La raison historique à la présence dans cette ville bretonne de deux pinceliers est à découvrir dans cet article du Télégramme.